LA NOUVELLE HAYYÙ

Le Projet qui marquera une nouvelle direction pour Djibouti et le continent Africain

djibouti

Un potentiel ilimité en de production d'électricité "propre"

Aucun besoin en énergies fossiles carbonées (charbon, gaz, pètrole...).
Djibouti a le devoir pour elle- même, pour ses enfants, pour la planète de mettre en oeuvre cet ambitieux projet de production et de commercialisation d’énergie propre.

Le projet de la Marina d’Obock a pris forme petit à petit et au fur et à mesure de nos réflexions il s’est enrichi, il s’est amplifié et a formè un ensemble ambitieux et cohérent.

Au départ, nous avons pris conscience de la possibilité d’avoir à Djibouti de l’énergie propre grâce à une ferme d’hydroliennes dans les Passes du Goubet.

Puis nous avons pris en compte le passage à Djibouti d’un nombre très important et toujours croissant de câbles sous-marins de télécommunications.

Aujourd’hui Djibouti est d’ores et déjà un des centres névralgiques mondiaux de cette société de l’Internet et sa position ne cesse de se renforcer au fil du temps.

ÉNERGIE ET COMMUNICATION

La génèse du projet

Autant de nouveaux câbles Internet sous-marins que de câbles existants dans le monde seront posés dans les 3 â 5 ans.

Djibouti sera très prochainement le point d’atterrage de plus de 20 systèmes transcontinentaux sous-marins ainsi que de plus de 50% des fibres internet du monde.

L’idée d’une plateforme de DataCenters s’est rapidement imposée à nous, d’autant plus que devant Obock nous avions par 200 m de fond de l’eau fraiche à 15° qui pouvait être utilisée pour refroidir les DataCenters.

Nous avions ainsi l’opportunité de donner naissance aux premiers DataCenters écologiques du monde.
Une fois de plus la situation géographique de Djibouti joue en faveur de ces DataCenters qui seront situés à mi-chemin entre l’Asie et l’Europe offrant ainsi un temps de latence idéal.

Ces DataCenters seront le trait d’union entre l’Asie et l’Europe mais ils seront aussi une des portes d’entrée numérique du continent africain.

Mais notre réflexion ne s’est pas arrétée là.

Dès l’instant où nous avions des DataCenters il était évident, voire mâme nécessaire d’y adjoindre un pôle universitaire pan africain du numérique.

En effet, l’Afrique sera le continent du 21ème siècle. Sa jeunesse doit être formée, c’est une réalité.

Aujourd’hui les jeunes africains partent se former en Europe, en Amérique ou en Asie.
Une solution durable et évidente a émergé : ouvrir en Afrique des annexes des universités et de grandes écoles européennes, américaines ou asiatiques.

Le site d’Obock avec sa plateforme de DataCenters écologiques est tout indiqué pour recevoir ce pôle universitaire pan africain du numérique.

Il nous faut le calibrer, son bassin étant l’Afrique de l’Est, à minima ce pôle universitaire doit compter au minimum 50.000 chambres d’étudiants plus les amphithéâtres, les salles de cour et les laboratoires correspondants.

ambition du projet

Cette cité du numérique comprendra

en plus du data center, une université, des écoles, des commerces, des espaces de bureaux, des chambres d’hôtel, des logements étudiants, des logements de haut standing et des villas d’exception.

Notre réflexion mena à l’idée qu’à cette plate-forme de DataCenters et à ce pôle universitaire pan africain du numérique il fallait y ajouter une zone franche du numérique.

C’est ainsi que l’idée d’une ville nouvelle s’est imposée.

Le gouvernement Djiboutien va doter cette zone franche:

  • d’une Cour Arbitrale pan africaine indépendante,
  • de tout un arsenal juridique et fiscal (statut de sociétés avancées, statuts de fondations philanthropiques, familiales et mixtes),
  • d’un régime fiscal ad hoc.
Ainsi cette ville nouvelle sera la plus attractive possible.

L’architecture se veut intemporelle et imposante tout en restant humaine et agréable à vivre.

Tout est conçu et pensé pour une quasi autonomie de vie au sein de cette cité.

Commerces, locaux professionnels, centres de loisirs, écoles et universités dotées d’une cité universitaire, reprenant le modèle des fraternités américaines pour une qualité de vie inédite.

Centre de réunion de travail et de rencontre, cette cité sera également dotée d’hébergements pour les visiteurs, mais aussi pour ses nouveaux habitants, appartements de standing, villas sur le toit d’exception.

Une piste d’avion existe déjà et se situe à l’arrière de ce projet immobilier.

Elle ne demande qu’à être mise aux normes et aménagée pour que ce site jouisse d’un rayonnement non seulement sur son continent,mais à l’échelle du monde. De par la qualité de vie dont y bénéficieront ses habitants, étudiants, visiteurs, mais également par l’utilisation de technologies écologiques inédites.

Il fallait trouver un nom À cette ville nouvelle

Hayyú s’imposa tout de suite. C’est l’ancien nom, le vrai nom d’Obock.
Cette cité du numérique nouvelle s’appellera la Nouvelle Hayyú

LA FONDATION HAYYÙ

C’est le centre du projet de base
d’où son nom de "Fondation"

C’est le centre du projet de base d’où son nom de "Fondation"

Ce batiment abritera:

  • La Cour Pan Africaine d’Arbitrage,
  • Les premières banques,
  • Les services administratifs,
  • Les services financiers,
  • Les services fiscaux,

Ce batiment abritera:

  • La Cour Pan Africaine d’Arbitrage,
  • Les premières banques,
  • Les services administratifs,

 

  • Les services financiers,
  • Les services fiscaux,

La "Fondation" sera le coeur de la Ville

à ce titre, elle jouira d’une situation exceptionnelle au centre de la Cité.

En plus des salles d’audience et des bureaux, il hébergera:

  • Les logements des arbitres,
  • Les logements des hôtes de marqu,
Un style intemporel, des proportions rafinées, des prestations de très haut niveau. Nous avons prévu le meilleur pour le cœur de la Cité.

Nous avons prévu le meilleur pour le cœur de la Cité

Un style intemporel, des proportions rafinées, des prestations de très haut niveau.

Marina de HAYYÙ

Pôle d’activités et d’hébergement de la cité

La Marina, imposante structure élancée, assiéra la marque de volonté de l’Etat Djiboutien d’innover dans la pérennité et la durabilité.
C’est le pôle d’activités et d’hébergement de la cité. Tout comme la Fondation, son style intemporel est fait pour traverser les prochaines décennies tout en offrant une qualité de vie de très haut niveau à ses occupants.

Bien que surplombant une falaise de plus de 30 mètres de haut, ses bassins, ses canaux, lui apportent son appellation de Marina.
Nichée en haut de la falaise, aux abords du désert, elle émergera, telle une oasis, pour apporter tout ce qu’une cité moderne est en capacité d’offrir.

La Marina, imposante structure élancée, assiéra la marque de volonté de l’Etat Djiboutien d’innover dans la pérennité et la durabilité.
C’est le pôle d’activités et d’hébergement de la cité. Tout comme la Fondation, son style intemporel est fait pour traverser les prochaines décennies tout en offrant une qualité de vie de très haut niveau à ses occupants.

Bien que surplombant une falaise de plus de 30 mètres de haut, ses bassins, ses canaux, lui apportent son appellation de Marina.
Nichée en haut de la falaise, aux abords du désert, elle émergera, telle une oasis, pour apporter tout ce qu’une cité moderne est en capacité d’offrir.

Cet ensemble immobilier est conçu pour la vie dans son entité la plus totale. Il incluera tout ce que chacun est en droit d’attendre de son lieu d’habitation.
Créer un pôle d’échange, de culture, de mixité, de rencontres, chaque mètre carré doit être imaginé avec cette ambition.
Donner à Hayyù son statut de métropole numérique tout en conservant l’humain au cœur du projet sera la clé de voûte de ce projet.

Priorité à l'éducation

Une des principales activités de La Nouvelle Hayyù sera l’éducation et les formations universitaires.
Du niveau brevet de technicien au doctorat et à l’ingéniérie.

Entre autres spécialités, un laboratoire entièrement dédié au développement de l’intelligence articifielle dans le cloud ou locale sera installé et permettra le développement de cette spécialité du numérique.

Une des principales activités de La Nouvelle Hayyù sera l’éducation et les formations universitaires.
Du niveau brevet de technicien au doctorat et à l’ingéniérie.

Entre autres spécialités, un laboratoire entièrement dédié au développement de l’intelligence articifielle dans le cloud ou locale sera installé et permettra le développement de cette spécialité du numérique.

Choix

Le site D’OBOCK

Projet qui marquera une nouvelle direction pour
Djibouti et le continent Africain

Le site a été choisi pour pouvoir mettre en œuvre les projets écologiques de production d’énergie.
Tout sur place permet le développement de production électrique et thermique.

De plus, la superficie et la linéarité du littoral du site choisi permet des extensions quasi infinies à cette Cité.

Le site d’Obock avec sa plateforme de DataCenters écologiques est tout indiqué pour recevoir ce pôle universitaire pan africain du numérique.

Le Projet qui marquera une nouvelle direction pour Djibouti et le continent Africain.

Le Projet qui marquera une nouvelle ère pour
Djibouti et le continent Africain.

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